La domotique est devenue chose courante en 2025, pour rendre votre maison plus intelligente, contrôler à distance le chauffage ou la fermeture des portes et fenêtres. Les robots humanoïdes parlent, écoutent, et exécutent les taches domestiques les plus courantes. Initialement créés pour venir en aide au personnes âgées, handicapées, ou malades, les robots humanoïdes sont de plus en plus sophistiqués et offrent un confort d’un nouveau genre : MP3 intégré, joueur d’échec et peuvent même jouer le rôle d’un animal de compagnie.

Ultra diplômée et chercheur mondialement connue, Karine développe des robots humanoïdes pour la société de son père. Elle en a plusieurs à son domicile, des anciens modèles non commercialisés aux modèles qu’elle teste et cherche à améliorer chez elle par passion.

Le Twendy-One construit par l’équipe de chercheurs du professeur Shigeki Sugano à l’université japonaise de Waseda n’arrive pas à la cheville du modèle qu’elle construit en secret dans son atelier personnel. Ce garage transformé ferait rêver plus d’une chercheur du CNRS.

Voir le Twendy-One

Le Baby Star de Karine, mesurant un mètre quatre-vingt et pesant cent dix kilos est devenu son fidèle compagnon. Il lui apporte son café au lit tous les matins, lui frotte le dos dans la douche qu’il nettoie lorsqu’elle est partie travailler pendant que le reste du ménage est fait par d’autres robots moins sophistiqués.

Si elle roule sur l’or en savourant sa réussite, sur le plan sexuel et ses rapports avec les hommes, c’est le désert. Il est vrai qu’avec son QI, trouver un compagnon n’est pas chose aisée car ils l’ennuient vite. Karine aime les rapports sexuels puissants, forts, a des fantasmes de soumission qu’elle n’arrive pas à réaliser. Même sur Fessestivites, un site de rencontres prestigieux reconnu pour son sérieux, elle ne parvient pas à rencontrer l’âme soeur et Le Maître digne de ce nom. Les vidéos BDSM de femmes soumises sexuelles la rendent dingue, pour apaiser le feu qui couvent en elle, elle s’est offerte des sextoys et une machine à baiser sur ABCplaisir. Les fabriquer elle-même l’ennuyait et lui aurait fait perdre du temps.

Son robot humanoïde a été programmé pour l’accompagner dans son plaisir. Pendant qu’elle prend du plaisir anal avec sa machine à baiser, il lui titille les tétons de façon aléatoire, ses mains étant occupées entre ses jambes. Un soir de plaisir solitaire, la machine à baiser lui défonçait l’anus, elle se godait et se masturbait avec un magic wand massager, son Baby Star reprogrammé pinçait délicieusement ses tétons. Elle parvint à avoir un orgasme foudroyant la laissant toute pantelante. Sans énergie, incapable d’arrêter la machine à baiser ni d’ordonner à son robot d’arrêter de triturer ses seins. Dans un état semi comateux, son cerveau dérapait sous les asseaux mécaniques, elle se voyait entravée et prisonnière, une armée de militaires se servant de son corps de la pire des façons. Elle empila jouissances sur jouissances sans même utiliser le magic wand massager ou même se toucher. Dans un sursaut d’énergie, entre deux cris elle parvint à donner l’ordre d’arrêter à son robot puis à couper la machine à baiser lui défonçant l’anus.

• Couvre-moi et éteint la lumière !

Baby Star s’exécuta immédiatement, et sans même prendre une douche, Karine s’ombra dans les bras de Morphée. Au petit matin, son robot lui apporta son café au lit et un peignoir chaud à huit heure en lui disant « bonjour madame ». Le gode de la machine à baiser était sortie de son orifice mais toujours entre ses jambes, les draps étaient trempés et souillés, son anus était un peu douloureux pour cause d’excès. Les problèmes du lit ne la gênaient pas, ses robots s’en occuperaient. En savourant son café, Karine repensa à la soirée de folie qu’elle avait vécue. « A refaire en mieux » pensa t’elle.

Épuisée par sa nuit de folie, la journée de travail fut difficile et son esprit gambergeait sur des idées coquines que Karine ne pouvaient évidement pas partager avec son équipe de chercheurs. Pour que son robot puisse la baiser, il était impossible de le coucher sur elle comme un homme, d’abord à cause de son poids, ensuite parce que cette fonction n’a pas été encore inventée tout simplement à cause de nombreux problèmes techniques. Un robot humanoïde ne se couche pas, le faire se relever s’il tombe est compliqué et sur un lit ou un humain..... Il fallait donc qu’elle trouve secrètement d’autres solutions pour satisfaire ses fantasmes.

Quinze jours plus tard, le problème du sexe, ou plutôt des sexes étaient résolus. Karine avait inventé deux godes pouvant vibrer, grossir, se mouvoir en elle et en même temps, injecter du lubrifiant. Il est vrai qu’avec son génie et le matériel dont elle dispose, cette invention parti-cul-ière .... n’avait pas été bien compliquée. Pour la partie électronique et informatique à monter dans les godes, elle utilisa de nombreux composants existants. Dormant très peu, Karine s’acharna tous les soirs sur son projet, tant par défi que par excitation. En bricolant, elle faisait souvent glisser ses mains jusqu’à sa petite chatte délicatement rasée, humide et brûlante de désir.

Elle testa ses godes montés sur son robot un après l’autre, Baby Star ne refusant rien et n’étant jamais fatigué de par sa batterie lui assurant 24 heures d’autonomie. Le premier test eut lieu dans son atelier, monté sur son humanoïde il était trop tentant. Karine retira sa jupe et sa culotte, se pencha en avant pour venir s’empaler sur le gode numéro un. Excitée comme une puce, elle n’eut pas besoin de lubrifiant pour le faire glisser en elle. Avec d’infimes précautions, les fonctions furent testées. La vitesse de pénétration était suffisante, la longueur des godes parfaites. La capacité des godes à grossir et à passer d’un diamètre de 3,5 centimètres à 6 centimètres fonctionnait bien. La gestion de l’injection du lubrifiant était à revoir. Cela ne l’empêcha pas de s’accorder un long moment de plaisir solitaire, comme le font parfois des gens avec un gode ventouse collé au réfrigérateur, sauf que le sien avait de multiples fonctions que les vulgaires godes n’ont pas.

Karine programma avec prudence les fonctions aléatoires, on ne passe pas en anal de 3,5 centimètres à 6 centimètres en 3 secondes. Elle limita le gode anal à 4,5 centimètres.

La folie de Karine

Dans ses fantasmes et énormes envies de vivre un long moment de sexe hard, afin de ne pas pouvoir atteindre le bouton de sécurité de son robot humanoïde, elle acheta deux cadenas électroniques sur ABCplaisir, les fabriquer aurait pris trop de temps, pourquoi s’ennuyer pour si peu.

Le jour J, ou plutôt la plus terrible de ses nuits, avant de s’attacher couchée en avant sur le châssis tubulaire réalisé pour ça dans son atelier, Karine testa à nouveau sa programmation. Elle s’installa intégralement nue sur son carcan et ne fixa que ses chevilles aux barres la maintenant jambes écartées. Elle ordonna ensuite à Baby Star de venir la baiser. Grâce à ses radars, le robot humanoïde se déplaça et vint derrière elle en douceur. Le premier gode trouva sa place dans son vagin lubrifié sans encombre, le deuxième en taille réduite s’insinua délicatement dans son conduit anal. Le programme fonctionnait à merveille, les deux godes commencèrent à s’agiter en elle.

Se savoir prisonnière, obligée de subir comme les soumises sexuelles entravées des histoires érotiques de Fessestivites, la mettait dans un état d’excitation démesurée. L’impérieuse envie de folie la poussa donc à bloquer ses poignets dans des chaînes et à fermer les cadenas programmés sur deux heures.

Le Baby Star devenu phallique et sadique accéléra un peu ses mouvements, et, comme prévu dans la programmation, entreprit de triturer ses tétons. Sous l’effet des contraintes et de la double pénétration cumulée au titillement des tétons, Karine commença à décoller. Le premier orgasme pointa son nez rapidement, une vague de fourmis parcourut son corps qui se mit à trembler. Le robot humanoïde accéléra encore un peu ses mouvements et fit augmenta le diamètre des godes d’un centimètre. Ce fut le déclencheur d’un orgasme foudroyant et dévastateur poussant Karine à tirer sur ses entraves comme une perdue car le « forage » de ses orifices continuait inexorablement.

Pire encore, à peine eut-elle repris une respiration normale, les godes se mirent à vibrer et la pression des titillement de ses tétons augmenta. Karine se mit à pousser de petits cris puis, lorsque les deux godes augmentèrent encore de diamètre, à hurler de plaisir. C’est là que le programme a commencé à buguer.

Le gode anal s’accéléra et passa d’un seul coup de 4,5 centimètres à 6 de diamètre. Elle eut l’impression qu’une barre de feu ravageait son anus. Celui de devant, pourtant limité à 6 centimètre de diamètre augmenta en taille lui aussi pour atteindre 8 centimètres de diamètre. Karine en avait le souffle coupé. Elle avait l’horrible impression d’être déchirée et tirait en vain sur les chaînes.

Baby Star était totalement insensible à ses hurlements, sa programmation n’étant pas prévu pour ça. Heureusement pour Karine, la fonction lubrifiant fonctionnait encore et injectait régulièrement en ses orifices un gel assez liquide pour s’écouler aisément. En regardant le temps de souffrance qu’il lui restait à vivre sur les cadenas électroniques, elle se rappela qu’elle avait programmé toutes les fonctions sur puissance maximum 15 minutes avant sa libération. La peur lui noua le ventre déjà bien agité par des godes.

Cette peur l’empêcha de jouir de son invention, elle se faisait baiser sans plaisir. Elle ferma les yeux et serra les dents quand elle vit sur les cadenas 15,30 minutes. Soudain, comme programmé, enfin presque, les vibrations des godes augmentèrent. Quelques secondes plus tard, les godes passèrent en vitesse aléatoire, du minimum au maximum, soit de 15 coups à 300 coups par minutes. C’est quand les doigts de Baby Star se mirent à triturer encore plus fermement ses tétons déjà bien endoloris, les deux godes atteignirent la taille de 8,5 centimètres de diamètre.

Littéralement défoncée au sens propre du terme, elle commença à chavirer, à sombrer dans un état proche de la perte de connaissance. La faculté du corps humain à s’adapter permit à Karine de ne pas être déchirée et de partir au bout de quelques minutes dans des jouissances d’un nouveau genre : le plaisir dans la douleur. Submergée par les sensations nouvelles et des jouissances paroxystiques, elle craqua et se mit à hurler « stop » avant de perdre connaissance.

N’ayant pas la fonction « stop » dans ce programme particulier, Baby Star infatigable continua sa mission sexuelle sur un pantin de chair. Ce n’est que trois heures plus tard qu’il s’arrêta pour aller se connecter sur son aire de chargement électrique.

La chercheuse que certains appellent « la bourgeoise » reprit connaissance. Le visage défait, avec des rivières de maquillage sur les joues puis des traces de bave sur le menton et le cou, Karine se libéra sans encombre des chaînes maintenant ses poignets. Pour libérer ses chevilles, se pencher fut fatal à son équilibre, sans énergie et dans un état de décrépitude avancé, chuta sur le sol. Assise sur les fesses et jambes écartées, elle constata sur le carrelage qu’elle avait fini par se laisser aller sur le plan urinaire et fécal.

Se lever pour aller prendre une douche ne lui sembla pas possible. C’est donc comme une chienne défoncée que la « bourgeoise » se rendit à quatre pattes jusqu’à sa salle de bain. Si la douche assise lui fut salutaire, elle constata que se toucher pour se laver était horriblement douloureux. Karine n’alla pas travailler le lendemain. Elle mit non pas une mais des protections dans sa culottes pour se rendre à la pharmacie acheter de la pommade contre les irritations. Mettre un soutien-gorge fut difficile, ses pauvres tétons étant eux aussi complètement enflammés.

A son retour, et après s‘être soignée, c’est torse nu et assise sur sa culotte remplie de coton que Karine se remit sur la programmation de Baby Star phallique pour corriger les bugs et ajouter une fonction magic wand pour son clitoris.

• Sans les bugs et avec un gros vibro comme le magic sur le clitoris, cela doit être torride ! Indiqua Karine à son Baby Star en train de faire les vitres.

• Oui Madame mais vous êtes trop gourmande et mériteriez une bonne fessée !

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Ecrivaillon

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